Olivier l'attendait avec un parasol qu'il partagea secrètement, proposant un abri contre les gouttes scintillantes qui tombaient mollement. Ils marchèrent vers le cacao le proche, un petit endroit accueillant avec des fauteuils en faîtière et des lumières tamisées. En accrochant, Victoria observa Olivier. Il semblait divers des autres hommes qu'elle avait rencontrés ; il avait un intérêt sincère pour le monde des créations, non pas simplement de la même façon qu'un acquéreur, mais avec une curiosité, qui égalait les siennes. Olivier expliqua qu'il avait remplacé de deux ou trois merveilles de sa grand-père, parures de maison nombreuse qui avaient éveillé son rente pour l'art de la magasin de vente de bijoux. « J'ai toujours été séduit par la façon avec laquelle un plaisant ballon peut capter toute une annale, des émotions, des biographies... Comme ce collier en plaqué or que vous avez dans votre site internet. c'est extraordinaire ce que ceux qui sont prêts à partager par ces petits attraits, » dit-il, ses yeux pétillants d'enthousiasme. Victoria sirotait son café, respectant attentivement. « c'est vrai. n'importe quelle pièce que nous vendons pourrait devenir une partie de la story de quelqu'un. entre autres, les bijoux rendez-vous ou les bracelets soumis au cours de grandes évènements. Je juge que c’est ce qui me enchante le plus dans mon emploi. n'importe quelle vente a le potentiel de se transformer en magnifique souvenir pour des choses. » La conversation se déplaça naturellement pendentifs aux voyages, aux livres, et à leurs projets. Elle hésita un coup, évoquant sa commande sur internet attente, puis accepta. Après tout, qui mieux qu'un camarade de la bijouterie serait en mesure de se rendre compte son monde scintillant ? Ce qui avait débuté de façon identique à un plaisant achat devenait le prélude d'une histoire bien plus précieuse. Victoria verrouilla rapidement une émission au petit écran de la commande sur le web et glissa sa flanelle pour sortir sous la pluie légère.
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